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18 juin 2012 1 18 /06 /juin /2012 18:49

Ca y est, c'est fait !

 

Hier, les français ont choisit la cohérence. Bien que Jean-François Copé ai continué d'affirmé que la vague rose n'avait pas eu lieu, le Parti Socialiste à réussi l'exploit d'obtenir la majorité absolu. Tout les pouvoirs ou presque (il manque le majorité du congré pour la modification de la constitution, indispensable pour faire passer le droit de vote des étrangers par exemple).

Même en 1981 le résultat n'avait pas était aussi éclatant.

 

http://www.parti-socialiste.fr/static/styles/full_largeur/public/7863/lhebdo-des-socialistes-ndeg660.png

 

Cette "océan rose" est néanmoins pas si "tsunamique" qu'il en à l'air, en effet il est à mettre en regard avec le taux d'abstention record (44%).

En fait les français, lassés des politiques et de la politiques en général, plombé par une crise à la fois moral et économique ont décidé de laisser comme une dernière chance, un dernier appel, à leurs politiques. En donnant ainsi une majorité présidentielle absolu, François Hollande et son gouvernement n'ont ainsi plus aucune excuse pour ne pas réussir, en d'autre terme l'erreur ne sera aucunment pardonné et sans doute que le retour de bâton sera proportionnel à la confiance accordé.

 

C'est bien parce que ce vote est plus basé sur une lassitude, voir une désillution déjà présente, de la politique, qu'il a était si net en résultat et si faible en participation en même temps. 

 

François Hollande se retrouve donc en position, à la fois, de force et de faiblesse. De force car le voilà avec les coudés franches, de faiblesse car à la moindre erreur il risquera la crise populaire.

 

Sans doute que jamais aucun gouvernement n'a était aussi attendu ... aussi près d'une crise populaire aussi.

 

 

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17 juin 2012 7 17 /06 /juin /2012 11:06

Le droit de vote est est issu d'une longue histoire qui ne s'est pas déroulé sans heurs.

 

Avant tout, voici une carte du monde sur l'êtat de la démocratie dans le monde, plus le bleu est foncé, plus elle est en panne :

 

http://2.bp.blogspot.com/_7Shg2RuD0mE/TUPhDn8E59I/AAAAAAAAA7I/z-5fJgdw7V0/s1600/carte02.png

 

A présent, voici l'histoire du droit de vote en France ::

 

C'est John Locke puis Montesquieu qui thérorisa en premier la séparation des pouvoirs, l'executif et le législatif tout dabord, et le judiciaire ensuite. Mais il faudra attendre 1789 pour que naisse le suffrage censitaire indirect, il aura pour tâche de désigner les membres des Etats généraux. A l'époque, selon une théorie de Emmanuel-Joseph Sieyès pour qui le vote était une fonction, seul les hommes de plus de 25 ans payant l'impôt était apte à voter. La noblesse et le clergé affirmant représenter la grande majorité de population, il y avait un représentant pour chacun de ces deux ordres.

 

Le suffrage censitaire ne deviendra direct qu'en 1791, mais 4 ans plus tard le suffrage redeviens indirect. A cette même année de 1795, il faut également avoir participer à une campagne militaire pour devenir électeur au premier degrès. Pour être du second degrès il faut avoir des revenus élevés.

 

En 1799, le consulat est créé, il durera jusqu'en 1815, année où le suffrage censitaire est rétabli, c'est la Restauration.

 

En 1848 les règles changent encore et pour l'accès au vote deviens autorisé pour les plus de 21 ans, il faut également résider depuis au moins 6 mois au même endroit. Le vote est interdit aux militaires et aux Français résidants à l'étranger.

 

Durant près d'un sciècle la situation ne bougera plus, 98 ans exactement car en 1944, le 21 avril, le droit de vote s'ouvre aux femmes et aux colonies et le suffrage universelle refait son apparition. La France, loin d'être en avance sur son temps, est un des derniers pays d'europe à accorder ce droit aux femmes, les élections municipales du 29 avril 1945 seront leur premiere élection, enfin le 17 août 1945, les militaires de carrières deviennent les derniers citoyens à pouvoir voter; "la grande muette" peut enfin s'exprimer ... mais si elle est encore soumis à un devoir de reserve.

 

En 1962 le suffrage universel deviens direct pour les présidentielle. En 1974 l'âge du droit de vote passe à 18 ans sous Valéry Giscard d'Estaing. En 1994, la suppression automatique du droit de vote pour les détenus est aboli, expepté pour les personnes jugées coupables de concussion, corruption active ou passive, détournement de bien publics, menaces contre les personnes exerçant une fonction publique... depuis moins de cinq ans.

 

En 1998 les sans domicile fixe peuvent enfin voter, exeption faite pour les gens du voyage.

 

En 2005, le vote sous tutelle deviens autorisé, ouvrant ainsi ce droit aux personnes handicapés.

 

Notre vote est issu d'une histoire de plus de 220 ans, des hommes et des femmes se sont battus pour faire entendre leur voix. Aujourd'hui des millions de personnes en sont privés. Plus encore, en France chacun est libre dans l'exercice de ce droit, alors que certain pays le rende obligatoire.

C'est cette liberté chèrement acquise qui doit nous interdire de la mépriser. Aller voter c'est faire honneur à l'histoire, mais aussi se donner le droit de ne pas être content, de nous donner le droit de critiquer ceux qui nous gouvernent car c'est notre vote qui les placent là où ils sont.

 

Bref, allez voter !

 

 

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11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 13:39

 

http://s.tf1.fr/mmdia/i/49/8/1er-tour-des-legislatives-2012-projection-de-l-assemblee-nationale-10712498yrjnw_2038.jpg?v=3

 

Dès les premiers résutats connus, les ténors de l'UMP se sont succédés sur les différents plateaux afin de limiter la casse au maximum. Le message est clair : il n'y a pas de vague rose !

 

De même qu'après les présidentielles, les ministres sortants tentaient d'affirmer içi et là que la gauche n'avait gagné que par erreur et calcul, hier soir le discours était presque simililaire, à l'image de Jean-François Copé qui, sur France 2, n'a cessé de pester contre les sondages dans l'erreur constantes, contre les médias coupable évidemment de ne pas être de droite, allant jusqu'à invectiver David Pujadas, l'accusant de ne pas avoir posé la question du débat au premier ministre (David Pujadas qui répondu que ce n'était pas à lui, Jean-François Copé, de dicter les questions aux journalistes).

 

L'ancien parti présidentielle à manifestemment  bien du mal à cacher sa deception, mais surtout à montrer de l'optimisme, tant la stratégie de reconquête de l'électorat à échoué. Alors l'idée est visiblement de maintenant mettre en garde contre le futur plutôt que de se poser en alternative crédible.

Toujours Jean-François Copé : "Faut-il faire élire des gens qui s'allient avec l'extrême gauche ?", Jean-Pierre Raffarin rappel "la hausse d'impôt massive promise par Martine Aubry", tous insistant sur "le peu d'appétence des Français pour le programme de François Hollande", bref la droite ne digère pas.

 

Il convient de rappeler que la droite est 10 points en dessous de 2007, que cette même droite qui raille tant l'alliance avec EELV et le Front de Gauche, oublie que l'UMP est une union de divers tendance de droite (tandis que le PS à choisi de laisser vivre ses tendances)  et que le message de non-alliance avec le FN risque d'être mal suivit au niveau régional.

 

L'absence de vague rose est une réalité, tout comme l'absence de vague bleu. Une légère avance, enfin de compte conforme à la présidentielle. Un bon score des verts qui valident ainsi sa stratégie d'alliance, "une petite vague verte" selon Cécile Duflot, un score qui sonne comme une sentence pour le modem et de même pour le Front de Gauche qui devra s'aligner sur le Parti Socialiste (si des sièges sont malgrè tout obtenus) pour exister.

 

Enfin n'oublions pas le second tour en fin de semaine : le vote est le droit le plus important de notre république, un simple bulletin peut faire basculer l'avenir de la France. Voter donne de droit d'exprimer ses opinions, c'est le premier des engagements personnels dans la vie politique, saisissez-vous en !

 

 

 

 

 

 

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10 juin 2012 7 10 /06 /juin /2012 12:08

 

http://md0.libe.com/photo/418789/?modified_at=1339314162&ratio_x=03&ratio_y=02&width=476

 

C'est fait ! L'Espagne à tranché et demande à l'Europe de son aide !

La quatrième économie d'Europe n'arrive donc pas, seul, à sauver son pays de la faillite et demande un plan de sauvetage de ses banques, plan qui pourrait atteindre la centain de  milliard d'euros. "Les conditions seront imposées aux banques, pas à la société espagnole" à affirmer le ministre, mais peut-on vraiment poser des conditions à Bruxelles ? Rien n'est moins sûr.

 

Ce pays latin, et donc fière, à mis du temps avant d'accepter l'innaceptable, c'est à dire se mettre sous tutelle d'une Europe qui risque à présent de sacrifier, comme en Grêce, une génération afin de pouvoir sauver les suivantes.

 

Que faut-il en penser ? L'Espagne aurait-elle pût s'en sortir seul ? On imagine facilement que si cela avait était possible, la solution aurait-était trouvé. Mais alors, n'y at-t-il point de salûtupour la vieille europe ? On peut penser que si lAllemagne tiens ses positions et que la France sorte la tête, ces deux pays pourraient à eux seul maintenir le bateau à flôt, mais si la France tombe, l'Allemagne n'accepterait surement pas d'assumer seul la charge, le pourrait-elle seulement ? Sans doute pas. Dans cette optique, seul le démentelement de la zone euro, en bon ordre, pourrait sauver les Etats et les peuples.

Mais dans ce cas, quel prix à payer ? L'effondrement des monnaies et donc la chute des pouvoirs d'achats, la fuite des grandes entreprises et des cerveaux, bref la berezina.

 

La seul vrai question qui reste est donc : la chute de l'europe, défaite face à la finance, ou retraite organisé ?

 

A moins encore une fois, que l'Allemagne et la France s'entendent et deviennent le couple sauveur.

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 13:25

Sujet typiquement de gauche, presque idéologique, et qui fait frémir la droite: la dépénalisation du cannabis ! Depuis que Cécile Duflot a lancé le sujet, médias et politiques ne parlent plus que de ça. Terrible ! La gauche veut créer une génération de drogués !

 

                                        

Une fois l'émotion passé, regardons mots et faits.

 

Les mots d'abord, la gauche parle de "dépénalisation", voyons la définition du dictionnaire : "Action de faire disparaître le caractère pénal qui était attribué à une infraction". Alors que la droite, qui ne s'ai jamais emparé du sujet ni même voulu ouvrir le débat, hurle à l'autorisation des drogues, voilà que l'on découvre, en ouvrant un simple dictionnaire, que la gauche veut simplement "faire disparaitre le caractère pénal" de la consommation, autrement dit en comsommer ne sera plus passible de prison ! Il y a un monde entre cela et le fait que chacun puisse en acheter librement au super marché du coin !!!


Voyons les faits à présent, selon un article récent de l'Express, les jeunes français sont les plus gros consommateurs de cannabis en Europe et cela malgrè la pénalisation et la violente politique répressive (on pourrait mettre cela en parralèle au laxisme édifiant face aux tabac mais il faudrai sortir du sujet); en 2008 des chercheurs britanniques et italiens on découvert qu'une molécule de marijuana pourrait détruire un staphylocoque doré, également voici un extrait du site doctissimo sur le sujet :

 

"Plusieurs centaines d'études1,2 ont ainsi permis de confirmer certaines propriétés du cannabis médical :

  • Propriétés antidouleur, en particulier pour les douleurs chroniques résistantes3 ;
  • Propriétés anti-spasmes, utiles en cas de sclérose en plaques4 voire d'épilepsie partielle5 ;
  • Propriétés anti-vomitives et contre les nausées, pour les patients sous chimiothérapie6,7 ou atteint d'un sida8 ;
  • Stimulation de l'appétit, en cas de maigreur importante ou de cachexie  chez personnes âgées en long séjour9,  les patients atteint d'une maladie d'Alzheimer10 ou du sida11 ;
  • Mais aussi une amélioration du sommeil12,13, une dilatation des bronches insuffisante cependant pour traiter l'asthme14, une dilatation des vaisseaux pouvant améliorer le glaucome15, etc."

Alors bien sur il ne faut pas faire n'importe quoi mais il est peut-être temps de se poser les bonnes questions et cesser de se mettre des oeillères idéologiques. Lorsque l'on entend Claude Géant affirmer qu'il n'y a pas de différence entre les drogues durs et douces, on mesure le degrès d'ignorance de certain et du même coup la necessité de l'ouverture d'un vrai débat.

 

Ajoutant enfin que François Hollande et Manuel Valls sont farouchement opposé à cette dépénalisation, et que Céciel Duflot à bien précisé qu'elle s'était exprimée en tant que militante EELV et non en tant que ministre, autant dire qu'il ne sert à rien de hurler avec les loups car rien n'a était décidé, mais si le sujet pouvait être ouvert et du même coup ouvrir un boulevard au sujet de l'utilisation du cannabis à des fins thérapeutiques, j'aurais envie de dire : Merci Cécile !

 

 

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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 16:27

 

Voici la photo offcielle de François Hollande :

 

http://91.68.209.9/bmi/www.elysee.fr/president/root/bank_objects/T5-PRESIDENT-50X65-valide-JO.jpg

 

 

Elle à était réalisé par Raymond Depardon dans les jardins de l'Elysée.

 

On le remarque plus détendu que ces prédécesseurs dans la pose, mais légèrement en avant  pour ne pas marqué d'immobilisme.

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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 15:48

 

http://www.lepoint.fr/images/2011/06/20/cope-jpg-336923-jpg_213965.JPG

 

                                                                                                                                                 © Bertrand Langlois / AFP

 

Jean-françois Copé et le système des primaires ... toute une histoire.

 

Ce lundi 4 juin, au micro de France Inter, alors que l'interviewer lui demande si les primaires de l'UMP doivent être réservées aux seuls membres du parti, sa réponse est sans équivoque : "Personnellement, je suis pour un système très ouvert". On pourra dire que je fait du gauchisme de base, mais je ne peux m'empêcher d'esquisser un rictus moqueur, oui Copé est pour le système des primaires, sur le modèle des fameuses primaires socialistes qui  avaient précédés les présidentielles et qui avaient tant fait ricané ce dernier.

 

C'est en effet lui même qui les avaient, à l'époque, qualifiées de "gigantesque fichage politique", suivit tout de go par le député Édouard Courtial, en charge des Fédérations à l'UMP, qui n'avait pas résisté à la tentation de tenter de les faire interdire par la CNIL !

L'ancien porte-parole du gouvernement s'était également fendu de cette croustillante : "Le PS, qui donne toujours des leçons, remet en cause la liberté individuelle et le respect des opinions politiques de chacun. C'est profondément scandaleux !"

 

Alors, forcement, mon rictus ne peut être que moqueur; le voilà aujourd'hui chantre d'un système "profondément scandaleux" qui n'est autre qu'un gigantesque fichage politique".

 

Rappelons que en 2006 ce dernier nous avait "passionné" avec son livre joliment titré "Promis, j'arrête la langue de bois" ...

 

Cela se passe de commentaire.

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3 juin 2012 7 03 /06 /juin /2012 17:51

Après trois semaines de vacance au Maroc, Nicolas Sarkozy est revenu en France, avec visiblement la volonté de "se faire oublier", selon lui même. Ni commentaire, ni interview, les Sarkozy doivent se faire oublier, surtout si une volonté de retour l'anime.

Peut importe, il peut compter sur son ancien gouvernenement, en référence à son hyper-présidence, pour parler à sa place et surtout "de faire vivre et promouvoir le quinquennat de Nicolas Sarkozy", dixit Christine Boutin, vice-président de cette nouvelle asociation dont le président est Brice Hortefeux et qui a pour nom : "Les amis de Nicolas Sarkozy" ! Ca ne s'invente pas. 

 

Mais d'où viens cet passion pour leur ancien président ? Pourquoi ne pas respecter alors le désir de discrétion de ce dernier ?

S'effaceront-ils naturellement en cas de retour de leur "idôle" ? Sont-ils incapables de se renouveller politiquement sans leur leader ? Une chose est sûr, c'est qu'il n'y a pas que le nom de l'association qui est ridicule...

 

 

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29 mai 2012 2 29 /05 /mai /2012 16:44

Les promesses de campagne de François Hollande sont à télécharger ici

 

Relisez les bien, notamment le passage sur la retraite. Il faudra juger la gauche sur les promesses écrites et non sur celles inventés par l'UMP.

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29 mai 2012 2 29 /05 /mai /2012 08:45

 

http://s1.lemde.fr/image/2011/12/15/540x270/1619113_3_2e14_les-elections-legislatives-auront-lieu-les-10_b6bead2ccc15c75ebb7bf8b42d316434.jpg

 

La première enquête d'intentions de vote sur les élections législatives d'Ipsos-Logica Business Consulting viens de tomber : la droite serait crédité, au premier tour, de 35% et la gauche 31%, à ceux là s'ajoute les autres : 15% pour le FN, 8% pour le Front de Gauche, 6% pour EELV et 1,5% pour l'extrême gauche.

Si on part du principe que les extrêmes ne s'allient à personne et que l'on met de FG de côté pour le moment, on arrive à un hémicycle à  37% rose pour 35% bleu, à ce score pourrait s'ajouter les 8% du FG, ce qui ramènerait le score de gauche à 45% , mais il y a de grandes chances que cela dépende de la victoire, ou plutôt de la défaite, de Jean Luc Mélenchon dans le nord; en effet si il gagne il sera en postion de force et pourra prétendre à être une vrai force dans le pays, si il prerd il perdra en crédibilité et sera victime de son péché d'orgueil, il devra donc se rallier à la gauche pour ne pas se retrouver entre deux feux.

 

Conclusion : pas de vague rose mais une gauche en position de force. Ce que l'on constate aussi, c'est que le PS à bien fait de s'allier aux verts car, malgrès leur faible score à la présidentielle, on remarque que le mouvement écologique reste une force, légère certe, mais néanmoins bien réél, dans ce pays, et c'est ce qui risque de donner la majorité à François Hollande.

 

"Attention à l'êtat PS" hurle-t-on à droite, mais rappelons tout de même que cette même droite parle de la necessité d'un Etat fort face à la crise, et qui dit Etat fort dit majorité présidentielle à l'assemblé. De plus l'expérience nous à montré l'inneficacité d'un gouvernement de cohabitation, ors dans la tempête que nous traversons, l'immobilisme serait terrible !

 

Si la tendance se confirme, et comme nos politiques sont très prévisibles, on peux déjà entendre Jean-François Copé nous expliquer : "je voudrais simplement dire que on nous parlait de raz de maré à gauche à la présidentielle et que cela n'a pas eu lieu, que l'on nous parlait de vague rose aux législatives et que cela n'a pas eu lieu", drapé dans son orgueil de mauvais perdant, et la gauche nous dire que l'important est d'avoir une marjorité présidentielle pour réaliser ce pourquoi François Hollande  à était élu. Mais je ne voudrais pas faire les dialogues avant que la messe soit dite ...

 

Je rappel évidemment que tout ceci est sujet à caution car il ne s'agit que d'un premier sondage.

 

 

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