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27 mai 2012 7 27 /05 /mai /2012 11:36

Bientôt, dans Policroque, va paraître un article fouillé concernant l'histoires des rapports entre la télévison et la politique.

En attendant sa parution prochaine, voyons ce qui se passe en ce moment, chez nous, à l'Elysée.

Rappelons que notre nouvelle première dame, Valérie Trierweiler, est journaliste politique, membre de la rédaction de Paris Match, elle a également présenté des emissions politiques sur Direct 8 de 2005 à 2011.

 

Si cette situation ne déchaine pas les passions en France, alors que cela serait impensable aux Etats-Unis, elle ne laisse pas non plus indifférent et pose la question des relations entre nos hommes politique et le pouvoir.

 

Dans son interview dans Elle, Valérie Trierweiler à confirmé son désir de continuer son métier de journaliste, tout en insistant sur le fait qu'elle ne traiterait plus de l'actualité française "qu'elle qu'elle soit" (dixit). Dans cette même interview, elle posera elle même sa "ligne rouge", en précisant qu'elle ne ferait "rien qui puisse gêner" son compagnon.

Cela semble difficile à tenir sur le long terme. Comment peut-on pense qu'une, sans aucun doute billante, journaliste comme elle puisse si facilement accepter de passer en quelques jours d'analyste politique à conteuse de peoplade ?

 

Bien sur il y a l'indépendance financière, bien sur il y a le soucis de ne pas montrer que  la femme doit à tout pris s'effacer devant le mâle dominant et bien sur il faut bien se placer sur la même ligne de "normalitude", pour paraphraser Ségolène Royal 5 ans plus tôt, que son mari. Mais tout de même, la presse à mis tant d'années à gagner son indépendance vis à vis du pouvoir qu'i semble presque inadmissible que d'accepter une telle accointance.

 

Il va falloir suivre cela de très près et ne rien laisser passer, la liberté n'a pas de prix !

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20 mai 2012 7 20 /05 /mai /2012 09:32

 http://www.lefigaro.fr/medias/2012/05/19/87a82086-a1e0-11e1-821f-68a64c57ee6f-493x328.jpg

 

Ce samedi 19 mai, après 5h et 40 km, les membres du G8 arrivent enfin à Camp David.

 

Ensemble ils ont plaidé pour une euros "forte et unies" autours de la Grêce tout en s'encourageant à "encourager la croissance".

Bien evidemment, François Hollande, qui avait durant sa campagne promis de mettre la croissance au coeur de sa politique et, en sous entendu imposé ce thème aux partenaires mondiaux, à déclaré "La première grande orientation, celle que je voulais donner, je n'étais pas le seul, c'était de mettre la croissance au coeur de nos discussions (...) il apparaît d'évidence que la croissance a été le grand sujet de ce G8", et lorsque Barack Obama à conclu la rencontre par : "Il y a maintenant un consensus de plus en plus net sur le fait qu'il faut en faire plus pour créer de la croissance et des emplois dans le contexte des réformes budgétaires et structurelles", surement qu'il s'est dit que sa visite aux Etats-Unis la vieille n'a pas dût être inutile. En fait c'est même un victoire à mettre au crédit du président français, en effet il y a encore deux mois, le sujet de la croissance n'était à l'odre du jour dans aucun des pays de la zone euro, l'Allemagne l'avait même enterré. Aujourd'hui ce sujet reviens sur la table, tous ayant (enfin ?) compris que sauver un pays

de la faillite sans relancer son économie n'a pas de sens.

 

Comment même peut-on imaginer que des peuples puissent accepter de se faire ponctionner jusqu'à ne plus avoir de quoi subvenir à leurs besoins primaires sans rien dire ? En Grêce, en Italie, en Espagne ? Que se passera-t-il lorsque, ne pouvant plus se nourir et se loger, le monde leur demandera encore et toujours plus d''austérité ? La réponse est évidente : la guerre civile. Alors il y a de quoi se réjouir quand les membres du G8 déclare d'un commun accord que sans argent nul ne peut consommer, et que sans consommation un pays ne peut pas redemarrer son économie. A moins qu'il ne faille pleurer du tant de temps qu'il a fallu pour que ceux qui nous gouvernent finissent par comprendre cette règle économique de base.

 

Alors bien sur tout n'est pas parfait, bien sur tous ne sont pas daccord sur les moyens d'y arriver, mais qu'importe le chemin si il mène au but. L'Ialie et l'Allemagne souhaite mettre la priorité sur la rigueur, la France sur la croissance et pour les Etats-Unis les deux doivent aller de pairs, cependant si même l'economiste rigoureux Mr Monti déclare que nul ne peut " se contenter d'attendre des réformes structurelles et la réduction des déficits pour générer de la croissance" et à appeler le conseil européen du 23 mai à "définir des mesures concrètes, comme un renforcement du capital de la Banque européenne d'investissement, des obligations destinées aux projets (d'infrastructures) et une évolution vers les eurobonds", alors on peut se dire que oui, l'Europe à enfin installé un moteur à sa voiture.

 

L'Europe n'est pas sauvé, le monde non plus, la route sera longue mais sans doute moins abrute que prévu. Si la Grêce est sauvé, cela veut dire que l'Espagne et l'Italie peuvent l'être, mais si la boite de pandore est ouverte et que le Grêce sort de la zone euros, qui peut dire ce qui se passera après ? Mais soyons rassuré ur ce point, François Hollande à déclaré que "Le message que j'ai voulu porter (...) ça a été le souhait que la Grèce reste dans la zone euro, respecte ses engagements mais soit appuyée, accompagnée par l'Europe pour stimuler sa croissance". Reste à savoir jusqu'où les Etats sont près à aller pour sortir la Grêce de l'impasse .... et ça on ne le sait pas encore.

 


 

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19 mai 2012 6 19 /05 /mai /2012 11:01

Ce vendredi 18 mai 2012, François Hollande rencontré Barack Obama, voici sa déclaration à l'issue de l'entretient :

 

http://s2.lemde.fr/image/2012/05/19/540x270/1704128_3_79c7_les-cheeseburgers-se-marient-tres-bien-avec_1d2fde4444073d440e09490855876079.jpg

 

"Je voulais que mon premier déplacement hors d'Europe soit aux Etats-Unis d'Amérique pour rencontrer le président Obama. La rencontre de Camp David, le sommet de Chicago fournissaient une occasion exceptionnelle, et je remercie Barack Obama de l'avoir saisie et de nous avoir permis d'avoir une longue conversation ce matin.

C'est la première fois que nous nous rencontrons, ce n'est pas la dernière, il y en aura beaucoup d'autres, et le plus longtemps possible, mais c'était très important que je puisse réaffirmer ici l'importance que joue la relation entre la France et les Etats-Unis. L'histoire d'abord, des événements importants qui nous ont liés, mais aussi des différents parfois qui sont apparus qui ont été chaque fois surmontés. Parce que nous sommes dans un monde qui fait qu'entre la France et les Etats-Unis il y a des causes que nous partageons. Celles des libertés, de la démocratie, donc nous avons par notre histoire, par notre culture et par les épreuves que nous avons traversées, des liens qui font que quand la France et les Etats-Unis se mettent d'accord, le monde peut avancer.

J'ai évoqué avec le président Obama les grands sujets. D'abord, l'économie. La croissance doit être une priorité en même temps que nous mettons en ordre nos comptes publics, à travers des pactes budgétaires. Et sur cette dimension de croissance, le président Obama a pu marquer une convergence même si c'est à l'Europe d'organiser elle-même ses propositions en matière de croissance. J'ai aussi insisté sur la situation de la zone euro, et ce qui peut encore une fois être notre préoccupation par rapport à la Grèce. Et nous avons la même conviction que la Grèce doit rester dans la zone euro, et que tous les efforts doivent être faits, par les uns et par les autres, pour y parvenir. Les Grecs vont être consultés encore au mois de juin, et j'ai souhaité envoyer ce signal au peuple grec, de dire que sa place est dans la zone euro, que des efforts doivent être faits, et que la solidarité doit être là. Nos économies sont interdépendantes. Ce qui se passe en Europe a des conséquences sur les Etats-Unis, et ce qui s'est passé aux Etats-Unis a eu des conséquences sur l'Europe. Donc nous sommes liés les uns les autres. Et plus nous sommes cohérents dans nos actions, plus nous pouvons être d'autant plus efficaces.

Sur un autre sujet, l'Afghanistan, j'ai rappelé au président Obama l'engagement que j'avais pris devant le peuple français. Le retrait des troupes combattantes d'ici la fin de l'année 2012. J'ai également précisé qu'il y aurait toujours un soutien à l'Afghanistan, d'une autre nature, d'une autre forme, mais qui se situerait en bonne intelligence avec nos alliés et dans le processus qui est aujourd'hui en cours, dans ce qu'on appelle l'ISAF. C'est-à-dire que nous pouvons respecter notre engagement tout en appuyant différemment l'Afghanistan. Mais j'ai considéré que la date de la fin 2012 était pour nos troupes combattantes le point visé. Nous en reparlerons au sommet de Chicago, mais je pense que nous pourrons trouver les modalités permettant à la fois à nos alliés de poursuivre leur mission, et à la France de respecter la parole que j'ai donnée au peuple français.

Sur les autres sujets, l'Iran, nous avons trouvé une nouvelle fois des points de convergence pour que la négociation puisse s'engager, mais avec la fermeté indispensable pour qu'il n'y ait à aucun moment l'accès de l'Iran à la technologie nucléaire à des fins militaires.

Et sur les autres sujets, la Syrie, les pays du printemps arabe concernés par le partenariat de Deauville, nous avons rappelé la force des engagements, et je les poursuivrai.
Mais ce qui était très important aujourd'hui d'affirmer, c'est la responsabilité qui est la nôtre. La Etats-Unis d'Amérique, la France, sont des nations qui pèsent sur le destin du monde et nous devons agir en amitié, en cohésion, et aussi en partenariat. La France est un pays soucieux de son indépendance, mais qui en même temps sait quelle est son alliance, quelle est son amitié et quel est son lien avec les Etats-Unis d'Amérique et c'est en étant à la fois indépendants et en même temps liés dans ce partenariat que la France et les Etats-Unis pourront être les plus efficaces par rapport aux défis qui nous sont posés.

Je voudrais remercier le président Obama pour sa grande connaissance de ma vie, avant que je ne devienne un homme politique. Je veux ne rien dire qui puisse laisser penser que les cheeseburgers pourraient avoir quelque défaut que ce soit. Quant au véhicule qui était jusqu'à récemment le mien, j'espère ne pas avoir à l'utiliser avant longtemps."

 

(Washington, 18 mai 2012)

 

1974, François Hollande à 20 ans et pose pour la première fois un pied sur le sol américain. A-t-il pensé que, moins de quarante ans plus tard, il y reviendrait rencontrer l'homme le plus puissant du pays ? Qui peut répondre à cette question ?

Toujours est il que, un vendredi 18 mai 2012 vers midi et quart, les deux hommes sortent du bureau oval après plus d'une heure d'entretient, et que devant la quinzaine de journalistes présent, Barack Obama dit :""Les cheeseburgers se marient très bien avec les frites", en référence à ce premier voyage 38 ans plus tôt. Les frites se traduisant par " french fries", la boucle est alors bouclé. Les choses sérieuses peuvent commencer.

 

L'entretient fût long, plus long que la moyenne qui est d'environs une demi heure, soixante dix minutes dont 20 seuls. un officiel Américain : "La Maison Blanche reconnaît l'importance du président de la France et des problèmes mondiaux qui sont devant nous", François Hollande indiquant qu'il comprenait que les chefs d'êtats parlent plutôt aux chefs d'êtats plutôt qu'aux candidats, références au soutiens de Barak Obama à Nicolas Sarkozy durant la campagne. La chose est donc pardonné.

 

"La croissance doit être une priorité en même temps que nous mettons en ordre nos comptes publics", "Le retrait des troupes combattantes d'ici la fin de l'année 2012" (en Afghanistan), "nous avons la même conviction que la Grèce doit rester dans la zone euro".

 

On retrouve dans cette allocution différents thèmes et promesses de campagne d'ordre international. Notamment concernant la notion de croissance dans le redressement budgétaire, et le retrait des troupes d'Afghanistan, ainsi faisant il souligne que ces points ne seront, ou peu négociable.  

 

Bien sur on pouvait craindre de ce voyage une certaine tension, tant le parti socialiste est mal vu aux Etats-Unis, néanmoins Barack Obama, candidat à sa réelection se découvre d'un coup pro-européen, ce qui pour un américain n'est pas banal. Il faut rappeler que d'ordinaire les Etats-Unis ont plutôt une attitude de mépris vis à vis de 'la vieille Europe".

 

D'une manière général, ce voyage s'est donc bien passé, le président américain essayant de faire pardonner son soutiens à Nicolas Sarkozy et François Hollande pardonnant. Enfin de compte il ne s'agissait que d'une première rencontre, comme celle avec Angela Merkel; Nous voilà à présent rassuré sur les relations de  la France avec les grandes puissance, et même si tout n'est pas parfait, notamment la mésentente sur la date du retait des troupes d'Afghanistan, certain points sont rassurant, tel que le nouvel intérêt du président américain pour la croissance.

 

Mais c'est vrai qu'il faut être journaliste pour imaginer que le président des Etats-Unis d'amérique puissent envoyer balader un présidents européens alors que le monde est en crise et qu'une élection approche à grand pas.

 

 

 

 

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 16:39

C'est une information relayé par Rue89 : pour Alain Minc "la gauche ne peut gagner que par effraction"

 

http://www.lavieimmo.com/picture/actualite/realsize/alain-minc-4453.jpg

 

Je ne vais pas içi rentrer dans le détail de l'article de Rue89 (dont l'article est ici) mais je ne comprend pas très bien comment quelqu'un d'aussi intelligent que cet homme peut, avec autant d'assurance, dériver dans un tel déni de démocratie.

 

Bien sur chacun peut avoir les opinions qu'il veut, néanmoins le principe de la démocratie est bien que le peuple à toujours raison, alors aller affirmer içi et là, qu la gauche aurait gagné presque par erreur, voir par bêtises des électeurs, alors là ....

 

Sans rentrer dans de basses polémiques politiques, je me demande qui peut accorder du crédit à un homme qui prétend savoir ce que ceux qui ont voté avait dans la tête.

 

Au mieux, monsieur Minc, c'est de l'arrogance, au pire c'est du mépris.

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 13:07

C'est fait, Vincent Peillon annonce déjà son premier chantier : la semaine de cinq jours  pour les primaires !

 

 

 

http://www.lefigaro.fr/medias/2012/05/16/361e766e-9f85-11e1-8ed9-d7bef2049404-493x328.jpg

 

"Nous reviendrons à la semaine de cinq jours. Ce n'est pas la plus simple, mais nous le feront pour la rentré 2013"

 

"n'ont plus [les élèves français] que cent quarante-quatre jours de classe par an, soit quarante de moins que dans les autres pays européens. Cumulé sur une dizaine d'années, ils ont perdu un an de classe"

 

"on bourre leurs journée avec six ou sept heures de cours. Or, en CP, un enfant est attentif entre quatre heures et quatre heures et demie"

 

 

Vincent Peillon a donné ses arguments hier sur France Inter (ci-dessus), en fait depuis 2008 les rapports se succèdent dénonçant la semaine de quatre jours, jugé trop lourde, trop fatiguante et de facto inefficace.

Luc Chatel avait déjà ouvert le chantier en 2010 mais ne l'avait jamais terminé, la question étant jugé trop clivante.

 

La plus part des syndicats se rangent derrière le ministre mais souligne la necessité d'une concertation devant un certain nombre de difficultés, notamment la prise en charge des enfants à la fin de la journée, si celle-ci se termine trop tôt par rapport aux travails des parents. En effet il ne faudrai pas que cette idée ne créé d'autres inégalités entre ceux qui peuvent offrir des activités à leurs enfants et les autres qui devraient  les laissé livrer à eux même.

 

A suivre donc ....

 

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 09:20

Cétait une promesse de campagne, c'est fait ! La baisse de salaire du gouvernement est passé lors du premier conseil des ministres hier. 

30%, c'est le montant de cette diminution et elle concerne le président et les ministres.Ce qui ramène le salaire brut d'un ministre à 9 940 Euros, au lieu de 14 200 Euros, et celui du premier ministre et du président de la république de 14 910 Euros en lieu et place de 21 300 Euros.

 

Cette baisse est evidement essentiellement symbolique, elle ne va rien rapporter aux caisses de l'êtat mais François Hollande à bien compris la force du symbole.En effet, on entend içi et là des "ça ne sert à rien" ou autres "on s'en fou", mais il faut se souvenir du tollé sucité, en 2007, par la hausse du salaire de 170% de Nicolas Sakozy ! Là aussi il n'y avait pas d'importance budgétaire, mais l'image était bien là. Alors que l'Europe rentrai dans la plus grave crise de son histoire, le chef de la république de france, décidai de s'augmenter, curieux paradoxe alors que son ex porte parole de l'époque, Jean-François Copé, juge cela une "imposture" (dixit).

 

http://www.leparisien.fr/images/2012/05/17/2004759_photo-1337263304025-1-0_640x280.jpg

 

Justifiant ces propos, selon "Le Parisien" ce matin, par des calculs savants afin de démontrer que cette ajustement n'a aucun intérêt financier. Celui qui tiens aujourd'hui les rênes de l'UMP à surement oublié que rien dans cette décision, à la baisse comme à la hausse, n'était affaire de budjet.

 

Néanmoins, Jean-François Copé aimant visiblement es chifres, rappelons que, avec cette réduction de 30%, le gouvernement coûtera  353 000 Euros par mois au contribuable, à mettre en regard des 470 000 Euros du dernier gouvernenement Fillon.

 

Dans une démocratie, le gouvernement se doit l'exemplarité, dans la tourmente financière, même si il ne s'agit que de symbole, il est important de montrer qu'il n'y  pas que les peuples qui payent.

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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 08:46

Bienvenu sur Policroque,

 

L'idée de ce blog date de l'élection présidentielle de 2012, élection ou la gauche est passé au pouvoir, 31 ans après la première élection de François Mitterand.

 

Les évenements, les actualités vont être passés à la moulinettes de mes modestes analyses et, j'espère, parfois d'autres plus compétents, afin vous désintoxiquer des discours partisants de certains journalistes, voir de nos propres politiques.

 

Bien sur, certain d'entre vous trouveront ces articles orientés, voir "au service de", tant il est vrai que la nature humaine à du mal à croire à l'objectivité quand que la reflexion n'abonde pas dans le sens du lecteur; il pourrai arriver que ma subjectivité soit mise à mal par moment, après tout nul n'est machine et les opinions personnelles ne sont pas méprisable si tant est qu'elles trouvent leur sens dans le contexte, si cela devait arrivé je tâcherais le dur exercice de la justification.

 

Par respect pour le monde journalistique, je m'engage à donner mes sources afin de pouvoir fournir un droit de réponse à ceux, ou celles, qui en sentirai le besoin.

 

Vous pouvez également me suivre sur twitter à @policroque

 

Sur ce, à vos commentaires ! A vos tweet ! Bonne lecture à tous et à toute !!!!

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